RĂ©former lâĂ©ducation en Afrique ! Belle et grande ambition portĂ©e par Harry Jeer VIDEROT, participant de la session 8 du programme YALI, chef du cabinet Talent INCUBATOR.
Ce consultant senior en Management des projets et politiques internationales est un
passionné des voyages et un militant engagé des causes sociales.
AprĂšs des etudes primaires et secondaires au Benin. Harry a rejoint Paris pour ses Ă©tudes universitaires. Sa passion de lâaventure le conduira Ă©galement au Maroc pour y parfaire ses humanitĂ©s. Actuellement, il mĂšne des recherches dans le cadre de son doctorat en gestion.
Plusieurs rĂ©compenses et dĂ©corations tĂ©moignent de son engagement dans la quĂȘte du savoir et dans lâamĂ©lioration de ses compĂ©tences. Titulaire du Certificat de mĂ©rite CYPAN International Peace Ambassador for Project Guftagu. Il est formateur et promoteur international pour le compte de la ConfĂ©rence internationale de ROME (ROME-Mondial United Nations) et fut nommĂ© expert du programme UEMOA Talent Du Monde en 2016.
PĂšre dâune fille, Son vĆu le plus cher est dâĂȘtre un leadeur au service de l’Afrique et du Monde
Son projet : LE PASSEPORT POUR LâENTREPRENARIAT ET lâEMPLOYABILITE crĂ©Ă© en 2009 veut prendre en charge les questions liĂ©s Ă lâemploi des jeunes avec lâintegration dâun volet social important.
Câest ce projet qui a conduit Harry au programme YALI via lâambassade des Etats-Unis au BĂ©nin.
Au delĂ de lâaspect Ă©conomique de la crĂ©ation dâentreprise, il yâa une problĂ©matique sociale et environnementale que lâentreprise doit chercher Ă rĂ©soudre. Câest cette vision lĂ que Harry dĂ©fend et qui lui fait dire « lâentrepreneur tire sa satisfaction du bien-fondĂ© de son action. Mais aussi lâentrepreneuriat est comme une clĂ© de la croissance Ă©conomique »
Sa structure cherche Ă rĂ©pondre aux attentes des entreprises qui estiment que câest Ă la fois un luxe et un devoir de former leur personnel, dâavoir un plan de carriĂšre pour leurs collaborateurs, et de gĂ©rer les projets divers.
Un autre objectif important de son organisation est lâorientation et la promotion des start-up et le soutien du systĂšme Ă©ducatif ainsi que la facilitation de lâinsertion des jeunes diplĂŽmĂ©s par des stages professionnels de qualitĂ©.
Le plus important ici est lâinvestissement de lâentreprise dans des Ćuvres sociales Ă travers une assistance apportĂ©e aux jeunes dĂ©favorisĂ©s dans le but de faciliter leur accĂšs Ă un emploi dĂ©cent.
Etant conscient que lâĂ©ducation est un catalyseur essentiel de dĂ©veloppement durable, son projet vise lâaccompagnement de la croissance et de la compĂ©titivitĂ© des entreprises dâune part Ă travers des activitĂ©s de formation du personnel, et la prĂ©vention de lâexclusion des jeunes du marchĂ© du travail dâautre part.
MalgrĂ© le manque de financement et de partenaires, notre jeune entrepreneur se bat pour changer les mentalitĂ©s et susciter lâadhĂ©sion de son public cible.
Le YALI est pour lui une opportunitĂ© dâinteragir avec dâautres jeunes leaders africains. A lâen croire, ce programme lui a permis de « Renforcer sa pensĂ©e critique, rĂ©soudre des problĂšmes disciplinaires complexes et multiples, booster son esprit d’entreprise et crĂ©dibiliser son Ă©tude de marchĂ© »
Le YALI impacte positivement son projet et en perspective, il compte mieux développer ses activités à travers une mise en place formelle.
Pour lui le succĂšs passe par des compĂ©tences, une stratĂ©gie, des valeurs et des objectifs clairement dĂ©finis et « Le moteur de l’entreprenariat, câest la pensĂ©e entrepreneuriale »
Le leadership câest dâabord et avant tout une question de vision. Une vision sâappuie sur une volontĂ©.Une volontĂ© se materialise par une stratĂ©gie payante qui donne des rĂ©sultats. Câest cela qui a permis Ă Barack OBAMA, qui est son modĂšle de reusiite de devenir President des Etats-Unis. Le « Yes we can » de OBAMA faisant clairement Ă©cho au modĂšle que constitue lâĂ©minent Gandhi donne Ă Harry sa citation prefĂ©rĂ©e quâil pend comme un viatique : “Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde”.